vendredi 6 août

 

Nous partons de l'Hospitalet à 9h30 .. et rencontrons les premiers embouteillages à Mimizan. Le lac d'Horeilhan est inaccessible. Nous descendons jusqu'au cap de l'Homy plage pour la pause repas. A St Girons, nous dévions vers l'ouest pour traverser le courant d'Huchet à  Pichelebe, puis autre détour par Azur pour éviter Vieux Boucau. Nous poursuivons par Soustons, Seignosse, Hossegor, Cap Breton et à Ondres, nous bifurquons vers le camping à la ferme de St Martin de Seignanx


groupe folklorique rencontré sur la
groupe folklorique rencontré sur la
route (St Girons ?)
route (St Girons ?)


Samedi 7 août

 

Nous nous garons devant le Château Neuf à Bayonne.

Nous traversons la Nive pour rejoindre la cathédrale Ste Marie... qui est fermée jusqu'à 15h00.



l'Adour
l'Adour

Alors que nous avons repris la route vers la Barre (grande jetée de Bayonne) à la recherche d'un pont pour traverser l'Adour, Amélie nous téléphone pour nous donner rendez vous à 16h00 à Hasparren. Changement de cap. Nous filons vers l'est le long de l'Adour. Pause repas à Urcuit.

Parlons un peu du Basque aux origines et à la langue mystérieuses, où le groupe sanguin le plus fréquent est le O...

C'est une langue de cent mille mots, une grammaire qui emploie les déclinaisons et varie selon les modes et les temps.

Les Eskualdunak, "ceux qui parlent basque", adorent la chanter. D'où le dicton: un basque, un béret, deux basques, une partie de pelote, trois basques, une chorale...

Cette langue, écrite à partir de 1545, totalement isolée en Europe et dans le monde, a survécu à toutes les invasions. Au contraire du Gaulois, pourtant plus répandu. Son originalité, sa force, ne découlent pas du vocabulaire, bien que celui ci, fort riche, offre cent mille mots pour traduire cinq fois moins de mots français. En revanche, c'est la syntaxe qui a étonné les experts. Car la grammaire eskuara emploie les déclinaisons, comme l'allemand, le finnois ou le latin, mais en nombre plus élevé: douze. Et la conjugaison, compliquée, rend son apprentissage ardu. Elle impose des variations de forme dans l'utilisation des modes et des temps. Aux degrés de signification ou de comparaison, elle ajoute le potentiel, exprimant des possibilités. Et joue des pluriels de politesse, insérant de plus, dans le corps des verbes, des pronoms personnels compléments d'attribution. Cette complexité augmente avec une perversion linguistique supplémentaire: l'agglutination, dans la formation des substantifs. On la trouve partout, transformant chaque phrase en rébus!

arrêt touristique à la Bastide de Clairence

église à préaux pavé de dalles funéraires
église à préaux pavé de dalles funéraires
notre Dame de l'Assomption
notre Dame de l'Assomption
benitier circulaire!
benitier circulaire!

La communauté israelite de la Bastide Clarece a duré environ 200 ans, du début du XVIIe à la fin du XVIIIe siècle.

Réfugiés venus d'Espagne et surtout du Portugal, des israélites séfarades s'installèrent à la fin du XVIe siècle à Bayonne, d'où ils essaimèrent dans les trois petites villes de Peyrehorade (où les accueille le Seigneur d'Aspremont), de Bidache et de la Bastide Clairence (où les protège le Duc de Gramont).

Souvent appelés "portugais", les Israélites comptèrent environ 70 à 80 familles en la Bastide Clairence au XVIIe siècle. Ils y vécurenten une communauté relativement autonome désignée par l'expression "Nation Juive" sur les registres du Corps de Ville et disposèrent d'un cimetière distinct du cimetière chrétien.

Parmi les inscriptions portées sur ces tombes, au nombre de 62, la plus ancienne date de 1620, la plus récente de 1785. Le nombre des Israélites diminua nettement au milieu du XVIIIe siècle, où on ne compte plus qu'une quinzaine de familles juives. Il n'en restait plus que 6 en 1798...


Nous arrivons à Hasparren à 15h30 et les panneaux indiquant la mairie (lieu du RDV) nous envoient hors du bourg. De guerre lasse, nous finissons par nous garer pour poursuivre notre recherche à pied. Alors que Francine se dirige vers un bar pour se renseigner, un pur hasard lui fait lever le regard vers l'immeuble d'en face... orné d'un drapeau tricolore!

On s'installe donc au bar en face de la mairie et Amélie nous y rejoint à vélo. Elle vient de Paris, via Bilbao, pour ensuite se diriger vers Valence (Esp), puis rejoindre la Croatie, et tout ça à bicyclette! Elle doit rester en France jusqu'à lundi pour contacter les assedics (n° spécial), mais aussi retourner dans une librairie d'Hendaye où elle pense avoir oublié son antivol. En fait, après leur avoir téléphoné, l'antivol n'y est pas (ou plus)! Autre urgence: se laver... donc direction le cc pour une bonne douche. Nous arrivons à l'aire France Passion de St Martin d'Arberoue à l'heure de la visite de la ferme (élevage de brebis et de porcs basque pour utiliser le petit lait). Nous y achetons des fromages et de la confiture de cerises noires.


Dimanche 8 août

 

Une vidange s'impose! Nous optons pour l'aire de St Palois. Petite halte ensuite  àHélette dont Géo a publié une photo de l'église très attrayante. Pour l'heure, c'est fermé. Mais la messe dominicale a lieu dans une 1/2 heure et une dame vient nous ouvrir les portes. En fait, rien ne correspond à la photo du magazine... désinformation!!!

mais le site vaut le coup d'oeil.

les hommes s'installaient en haut, alors que les femmes restaient au "parterre".
les hommes s'installaient en haut, alors que les femmes restaient au "parterre".

Stèles funéraires discoïdales avec l'emblème basque
Stèles funéraires discoïdales avec l'emblème basque

Sur la route de St Jean Pied de Port, nous faisons un détour par la stèle de Gibraltar... Bofff! et quelques km de perdus à chercher une table d'orientation ... introuvable. Pause repas en forêt. Amélie étudie sa carte d'Espagne pour son itinéraire vers Zaragoza... et y répend son café!


Arrêt à St Jean le Vieux, qui était le principal centre urbain de la région avant la fondation de St Jean Pied de Port, et halte importante pour les pèlerinages.



 

 

Nous parvenons à nous garer à St Jean Pied de Port à l'entrée de la ville, sur un parking proche d'une airre cc payante et bondée.

 

Nous franchissons les remparts à la Porte de France et empruntons la rue de la Citadelle avec de nombreux autres touristes. Nous y repèrons la "prison de Evèques" qui n'est - maintenant - plus qu'un entrepôt et un gite pour pèlerins de St jacques (à 15 euros la nuit!)

La ville, créée au XIIe siècle au confluent des trois Nive (d'Arnéguy, de Béhorléguy et de Laurisbar) fut l'objet de sièges perpétuels de 1512 à 1530 entre Navarrais et Espagnols. C'est Charles Quint qui finit par la céder aux Albret.

la citadèle
la citadèle

Escapade en montagne vers les col d'Orgambidé... avec haltes pour laisser souffler la bête...

France...  ou Espagne?
France... ou Espagne?

Puis nous atteignons le col d'Arnostéguy jusqu'à Urculu et son cercle de mégalithes romains.

Des vaches et des chevaux Pottock y gambadent...


Retour vers St Jean Pied de Port puis St Martin d'Arossa dans un FP... en fait, deux place de cc en bordure de rue, le long du terrain de pelote basque. Enfin, on obtient quand même de l'eau fraïche auprès du propriétaire. Amélie effectue une réparation de chambre à air. et nous passons la nuit avec le vélo dans le cc!

 

Lundi 9 août

 

Les WC publiques du terrain de pelote sont bien accueillants... c'est à dire bien propres et avec lavabo.

Nous retraversons St Jean Pied de Port pour aller au Carrefour Market... et à nouveau en sens inverse pour prendre la direction de Roncevaux. Arrêt tabac obligatoire dès le franchissement de la frontière.

Nous nous retrouvons dans la brûme au Puerto de Ibañeta, en Navarre!

 

Un petit peu d'histoire: en 1790, les trois provinces historiques du Pays Basque de France (Labour, Basse-Navarre et Soule) sont rattachés au Béarn pour constituer le département de Basses Pyrénées. Le Pays Basque d'Espagne comprend les trois provinces de Guipuzkoa, Biscaye et Alava (érigées en communauté autonome en 1979) et la province de Navarre. Cela explique la devise nationaliste basque: "quatre plus trois égale un".

Cinq fois plus grand que le Pays Basque français, son "jumeau" espagnol est assi beaucoup plus peuplé: 2,5 millions d'habitants contre 260 000.

La Navarre est la plus vaste des quatre régions basques espagnoles. C'est la seule à avoir le statut de communauté forale (1982), les trois autres provinces ont le statut d'Euskadi (communauté autonome basque). La population de la Navarre s'élève à 600 000 habitants, dont près du tiers vit dans l'agglomération de Pampelune. La population a doublé en 30 ans.

Importante hostellerie qui accueille les pèlerins de Compostèle dès le XIIe siècle
Importante hostellerie qui accueille les pèlerins de Compostèle dès le XIIe siècle
la Collégiale
la Collégiale

Nous empruntons justement la route de St Jacques qui passe par Pampelune. Halte repas près d'Erro, puis Amélie charge son barda alourdi de quelques barres commando issues de nos rations... et la voilà prête à rejoindre Urrez Lumbres.. puis Zaragoza... (en fait, elle "s'offrira" une partie du trajet en train pour éviter la chaleur des routes sans ombre)


un peu d'histoire

 

au VIe siècle av JC, la Navarre actuelle est territoire des Vascons.

au IIe siècle av JC, Rome envahit la vallée de l'Ebre.

en 75 av JC, Pompée fonde Pampelune (Pompaelo).

en 56 av JC, l'Aquitaine est conquise par César.

Entre ces deux zones romaines, les Vascons tentent de résister mais au Ier siècle, ils sont intégrés à l'empire romain.

Au Ve siècle, les Barbares franchissent les Pyrénées provoquant de graves troubles dans la région. Les vascons en profitent pour se rebeller mais sont écrasés par une armée wisigothe au service de Rome.

Quand l'empire romain disparait, les Wisigoths fondent leur royaume à Tlède. Les Vascons s'opposent aux Francs (au nord) et aux Wisigoths (au sud).

En 710, une guerre civile éclate entre partisans du roi de Tolède et ceux de son rival soutenu par les Vascons. Le royaume affaibli s'effondre sous les coups des armées musulmanes. Les Francs stoppent leur avance à Poitiers en 732 et reprennent le contrôle du territoire vascon.

En 778, Charlemagne assiège sans succès les musulmans à Saragosse. Sur le chemin du retour, il fait raser les murailles de Pampelune, principale cité des Vascons dont la fidelité est incertaine. Pour se venger, ceux ci lui tendent une embuscade à Roncevaux. Un fils de Charlemagne, chargé du royaume d'Aquitaine, maitrise la Vasconie: les Vascons sont repoussés au nord des Pyrénées, en l'actuelle Gascogne.

en 824, le vascon Eneko Arista, sourenu par une famille wisigothe convertie à l'islam, s'empare de Pampelune et en fait son royaume.

en 907, Sanche 1er de Pampelune amorce la Reconquista des territoires pris par les musulmans. Mais le Calife de Cordoue brûle la cathédrale (924).

en 997, Al Mansür écrase les Navarrais et soumet le roi de Pampelune.

La situation bascule à la mort d'Al Mansür en l'an mil. Sanche III devient roi de Pampelune, renforce son patrimoine en occupant la côte Atlantique, l'Alava et le Rioja et hérite de la Castille.

A sa mort, en 1035, ses trois fils se partagent son royaume puis s'entredéchirent. Castille et Aragon récupèrent ces territoires.

A la mort d'Alfonso Ier d'Aragon, les Navarrais reprennent leur indépendance. Suivent les règnes de Garcia IV, Sanche VI qui prend le titre de roi de Navarre en 1178, puis Sanche VII qui s'éteint sans hérititier en 1234. C'est à son neveu Thibaud de Champagne que revient la couronne. Suivent Thibaud II, Jeanne Ière (épouse de Philippe le Bel), Jeanne II (petite fille de Philippe le Bel) jusqu'en 1349.

Jusqu'en 1387 règne Charles le Mauvais qui néglige les possessions espagnoles. Puis jusqu'en 1425, Charles II le Noble redonne sa splendeur à la cour de Navarre.

En 1441, la mort de la Reine Blanche entraine d'interminables guerres de succession qui se soldent par le rattachement de la Navarre à la Castille par Ferdinand VII en 1512. Elle conserve néanmoins son statut foral (édicté en 1330) et un Parlement.

 

et nous partons pour Pampelune où nous posons le cc au nez d'un feu tricolore sur l'avenue Pie XII (après la Citadelle). Nous remontons jusqu'à la place del Castillo, autrefois place d'armes du vieux château

plaza del castillo
plaza del castillo

chemin de ronde de l'evêque Barbazan
chemin de ronde de l'evêque Barbazan
église san Lorenzo
église san Lorenzo

Nous sommes passés devant l'église forteresse San Nicolas du XIIe siècle

et l'église San Saturnino, robuste bâtiment gothique avec 2 tours à caracrère défensif.

 

Nous partons par l'A12 à la recherche du camping d'Estella. Nous trouvons celui d'Ayegui... à 25 euros la nuit!

Quelques cc sont déjà stationnés sur le parking du lotissement d'en face, nous les rejoignons pour la nuit.

Prôche de la place, le palacio de la Reynes de Navarra (XIIe)
Prôche de la place, le palacio de la Reynes de Navarra (XIIe)

mardi 10 août

 

Le cc s'est fait doucher cette nuit par l'arrosage automatique de la pelouse. Seul Bruno l'a entendu!

Nous allons visiter Estella. Sur la plaza San Martin, quelques cyclistes se désaltèrent à la fontaine. Cette place avait déjà attiré de nombreux commerçants et aubergistes grâce aux privilèges accordés en 1076 par le roi Sanche Ramirez afin d'en faire une étape importante sur le chemin de St Jacques. Beaucoup de "francos" s'y établirent, souvent originaires du Puy en Velay

 

 

 

 

 

 

tradition d'hospitalité respectée...


calle de la Ruà - jolie façade et blason familial (palais de frère Diego de Estella)
calle de la Ruà - jolie façade et blason familial (palais de frère Diego de Estella)
Rebord de toiture ouvragé
Rebord de toiture ouvragé
Nous atteignons l'église San Pedro de la Ruà.. hélas en plein travaux. L'Iglesia de Sto Sepulcro nous attend à l'autre bout de la calle de la Ruà
Nous atteignons l'église San Pedro de la Ruà.. hélas en plein travaux. L'Iglesia de Sto Sepulcro nous attend à l'autre bout de la calle de la Ruà

Traversons le pont de la Càrcel direction Iglesia de San Miguel
Traversons le pont de la Càrcel direction Iglesia de San Miguel
Portail de l'Evangile
Portail de l'Evangile


la Basilica Nuestra Señora del Puy (1929-1951)
la Basilica Nuestra Señora del Puy (1929-1951)

 

 

 

 

Un sanctuaire à la Vierge du Puy dont les bergers, alertés par une pluie d'étoiles, découvriront la statue le 25 mai 1805.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous reprenons la route pour Logroño, province d'Alava avec halte repas dans la nature (un peu désertique) près de Laguardia.


Nous pénétrons dans Laguardia par la calle Paganos.

le village fut fondé en 1164 par Sanche VI le Sage. Il tire son nom de sa position stratégique sur la frontière navarro-castillane. Fortifié au XIIe, il est rattaché à l'Alava en 1486 sur décision des Rois Catholiques.

sculptures sur la place de l'église...
sculptures sur la place de l'église...
calle Mayor
calle Mayor

Iglesia de Sta Maria de los Reyes... encore fermée et la visite est payante. Nous n'apercevons même pas le portail polychrome si réputé.

 

nous en faisons le tour et découvrons un cercle de "seniors" installés sur des chaises à l'ombre de ses murs...

 

retour par la calle Sta Engracia bordée de vielles maisons

calle Sta Engracia
calle Sta Engracia

Nous reprenons la route en quittant la vallée de l'Ebre. Nous passons le Puerto de Herrera (1104m) et un autre col dans les Montes de Vitoria et nous arrêtons vers l'Artium de Vitoria Gasteiz (musée d'art contemporain).

Ici siège le gouvernement de l'Euskadi.

Ville fondée, selon la légende, en 581 par un roi wisigoth et, selon l'histoire, en 1181 par Sanche VI le Sage. Assiégée par les Castillans en 1199, elle est rattachée à la Castille tout en conservant ses privilèges.

Sa position entre les sierras et la Rioja a contribué à son développement économique et commercial (artisanat, vin, blé, fer)

les premières rues que nous empruntons ne respirent pas la prospérité
les premières rues que nous empruntons ne respirent pas la prospérité
Vitoria Gasteiz.......... nous grimpons jusqu'à la Villa Suzo par des tapis roulants!
Vitoria Gasteiz.......... nous grimpons jusqu'à la Villa Suzo par des tapis roulants!
terrasse aménagée
terrasse aménagée

église San Miguel...nous voici sur la plaza del Machete: une niche ouverte au chevet de l'église San Miguel contenait autrefois le coutelas sur lequel le procureur général jurait de défendre les libertés de la ville
église San Miguel...nous voici sur la plaza del Machete: une niche ouverte au chevet de l'église San Miguel contenait autrefois le coutelas sur lequel le procureur général jurait de défendre les libertés de la ville
la Virgen Blanca, patronne de la ville depuis le XIXe siècle
la Virgen Blanca, patronne de la ville depuis le XIXe siècle
les "miradores" de la plaza de la Virgen Blanca
les "miradores" de la plaza de la Virgen Blanca

place Machete
place Machete

 

 

 

Monument du "21 juin 1813". A cette date, Joseph Bonaparte et ses troupes, contraints de quitter Madrid, fut attaqué à Vitoria par l'armée anglo-espagnole de Wellington. Suite à cette défaite, Napoléon doit restituer le royaume d'Espagne à Ferdinand VII.

 

 

 

 

 

 

 

réseau électrique "à la Turque"???


église San Pedro
église San Pedro

clocher de la cathédrale Sta Maria
clocher de la cathédrale Sta Maria
en travaux
en travaux
visite sous haute
visite sous haute
protection
protection


anciennes échoppes
anciennes échoppes

Nous repartons vers le nord où un camping est indiqué à Ochandiano, mais, sur place, on ne trouve rien...

Nous essayons un stationnement à Murguia le long d'un trottoir, mais le passage des véhicules secoue trop le cc pour y envisager une nuit paisible...

C'est devant une chapelle vers Beluntza que nous nous posons...

garés pour la nuit?... non!
garés pour la nuit?... non!
coucher de soleil
coucher de soleil

La taille maximum a été atteinte pour ce sujet...

alors suite sur "les pyrénées occidentales du 11 au 18 août 2010"!